LA DOMEC, personnage burlesque et sensuel, nous parle, nous chante à capella ou en musique, son enfance, ses amours, ses lubies, en s’appuyant sur le répertoire de la chanson des années 30-50.
Avec sa silhouette de lutin sexy et déjanté, LA DOMEC pratique la représentation tout terrain, officie partout, y fait sa tournée. Sa gouaille et son audace entrainent le public sur les sentiers réalistes, fantaisistes et audacieux de la chanson française.
Réflèxions d’une femme qui n’a pas la langue dans la poche. Un vrai spectacle de cabaret, gonflé, qui joue sur la proximité, prend le spectateur par la main, l’interpelle, le provoque.

Un moment « d’amour qui fait BOUM »



                 


"Ne te laisse pas conter que la vie est peu de chose
 bois-la à grand trait il sera toujours trop tôt quand tu devras la quitter"
 B. Brecht


Moi, j’aime les gens, le populaire, la rue, ses refrains, ses bistrots et ses excès. Ces petits moments  de liberté, de bonheur volé, un rayon de soleil, un trait d’humour, un sourire rendu, un geste, un mot qui fait chaud au cœur… Toutes ces p’tites choses qui me font dire «Bon dieu qu’ c’est bon d’être vivant !».  
Le personnage de LA DOMEC est né de cette envie d’un spectacle qui mise tout sur l’humain, le plaisir,  jouer sur l’indicible, la fragilité et bien sûr les rencontres  éphémères.
Le plaisir des mots truculents, poétiques de Brecht, Prévert, Vian, Dor… Et bien sûr, le répertoire de la belle chanson française qui nous dépeint en 3 minutes des personnages hauts en couleurs, des tranches de vie et parfois des existences entières. De véritables petits scénarios !
Mon goût pour la proximité, toucher, effleurer  l’autre en cherchant toujours à être juste, provoquer,  sans mettre mal à l’aise. J’ai développé  mon sens de l’improvisation et de la répartie, pour saisir les imprévus. Le spectacle n’est jamais le même puisque c’est le public qui me donne matière à jouer, à répondre, à m’émouvoir.